Ésaïe

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Ésaïe 59

Le Saint d'Israël

1 L’Éternel peut sauver et entendre 2 - 8 Séparation entre le peuple et Dieu 9 - 15 La reconnaissance du peuple 16 - 19 L’étonnement de l’Éternel 20 Le Rédempteur de Sion 21 L’Esprit et les paroles de l’Éternel

1 L’Éternel peut sauver et entendre

1 Voici, la main de l’Éternel n’est pas devenue trop courte pour délivrer, ni son oreille trop pesante pour entendre ;

Ce chapitre poursuit le thème des transgressions qui empêchent la bénédiction promise. Ce n’est pas la faute de l’Éternel. Les Israélites pensent que leurs sacrifices et leur service dans le temple ne changent en rien leur situation difficile. Peut-être pensent-ils qu’Il ne peut les délivrer du pouvoir du roi du nord et qu’Il est incapable d’entendre.

Cependant, le problème ne vient pas de Lui, mais d’eux. Il a le pouvoir de les libérer de leur situation difficile d’esclavage des nations. Il est à leur disposition avec sa puissance. S’ils crient à Lui pour demander de l’aide, Il les entendra. Le reste fidèle d’Israël, « les sages » (Dan 12:3), les ‘maskilim’, annonceront le message de ce verset au peuple.

2 - 8 Séparation entre le peuple et Dieu

2 mais vos iniquités ont fait séparation entre vous et votre Dieu, et vos péchés ont fait qu’il vous a caché sa face, pour ne pas écouter. 3 Car vos mains sont souillées de sang, et vos doigts, d’iniquité ; vos lèvres ont dit des mensonges, votre langue a murmuré l’iniquité ; 4 il n’y a personne qui invoque la justice, et personne qui plaide en jugement avec intégrité ; on se confie dans le néant et on parle avec fausseté ; on conçoit l’oppression et on enfante l’iniquité. 5 Ils font éclore des œufs de serpent venimeux et ils tissent des toiles d’araignées : celui qui mange de leurs œufs mourra, et si l’on en écrase un, il en éclot un cobra. 6 Leurs toiles ne deviendront pas des vêtements et ils ne se couvriront pas de leurs œuvres ; leurs œuvres sont des œuvres d’iniquité, et des actes de violence sont dans leurs mains. 7 Leurs pieds courent au mal et se hâtent pour verser le sang innocent ; leurs pensées sont des pensées d’iniquité ; la destruction et la ruine sont dans leurs sentiers ; 8 le chemin de la paix, ils ne le connaissent pas, et il n’y a pas de rectitude dans leurs voies ; ils ont perverti leurs sentiers ; quiconque y marche ne connaît pas la paix.

Par leurs péchés, ils ont érigé une barrière entre eux et Dieu (verset 2). Nous trouvons ici l’état spirituel du peuple d’Israël pendant la grande tribulation. Si nous prions et ne sommes pas exaucés, nous devons aussi nous demander s’il y a des péchés dans notre vie qui l’empêchent de nous exaucer (cf. Jac 4:3). Dieu et le péché ne peuvent coexister. Il ne peut voir les péchés de son peuple, mais Il leur cache son visage, afin qu’ils soient privés de la joie de la lumière de son visage.

Ensuite, le prophète, comme l’un des maskilim, leur explique tout ce qui ne va pas. Il souligne leur méchanceté, leurs actes meurtriers, leurs mensonges et leur hypocrisie (verset 3). Cela se produit parce qu’ils ont rejeté l’Éternel et aboutira au meurtre de Christ. Cette méchanceté se manifestera à nouveau lorsque le peuple, sous la direction de son roi, l’Antichrist, persécutera les Juifs fidèles (Apo 13:7 ; cf. Psa 10:8-11).

Ils s’accusent mutuellement à tort et la justice est corrompue. Ils placent leur confiance dans des discours sans valeur. Ce qui se développe en eux et se présente comme une nouvelle vie ne s’avère être que malheur dans ses effets. Ils ne sont pas dignes de confiance et dénonceront les vrais croyants par le mensonge et la trahison (Mic 7:1-6). Leur justice est dépourvue de justice, tout est perverti (verset 4).

Aux versets 5-6, Ésaïe fait la comparaison entre la couvaison des œufs de serpents venimeux et le tissage de toiles d’araignées. Il souligne ainsi le caractère néfaste des enseignements diaboliques que l’Antichrist annoncera dans le pays. Les œufs du serpent venimeux ont un double effet. Quiconque les mange meurt ; et si quelqu’un marche sur un œuf qui a déjà éclos, un cobra en sort. Dans les deux cas, la mort est inévitable.

Il compare aussi les actions de ces instruments de Satan au tissage d’une toile d’araignée, ce qui illustre de manière frappante le caractère inutile et nuisible de leurs activités (Job 8:14). Il est impossible d’en faire des vêtements et il n’apporte aucune chaleur. Telles sont leurs actions. Celui qui est pris dans leur toile meurt d’une mort lente.

La description de leurs activités aux versets 7-8 est citée par Paul en Romains 3 (Rom 3:15-17). Il le fait pour décrire la culpabilité générale de l’homme. Il brosse le portrait du pécheur en s’appuyant sur cette description que l’Éternel donne de son peuple. Cela montre que le peuple de Dieu est tombé si bas qu’il s’est abaissé au niveau de l’homme sans Dieu, voire au niveau de l’homme qui veut être comme Dieu (2Th 2:4). Avec cela, la mesure du péché de l’humanité est comble. Ésaïe présente le contraste entre leurs voies de désolation et de ruine et la voie de la paix, tant dans leur relation avec Dieu que dans leur relation avec leurs semblables. Celui qui suit le chemin du péché ne connaît pas la paix.

9 - 15 La reconnaissance du peuple

9 C’est pourquoi le juste jugement est loin de nous, et la justice ne nous atteint pas ; nous attendons la lumière, et voici les ténèbres ! la clarté, et nous marchons dans l’obscurité. 10 Nous tâtonnons le long du mur comme des aveugles, nous tâtonnons comme si nous n’avions pas d’yeux ; nous avons trébuché en plein midi, comme au crépuscule ; au milieu de ceux qui se portent bien nous sommes comme des morts. 11 Nous rugissons tous comme les ours et nous ne cessons de gémir comme les colombes : nous attendons le juste jugement, et il n’y en a pas ; le salut, et il est loin de nous. 12 Car nos transgressions se sont multipliées devant toi, et nos péchés témoignent contre nous ; oui nos transgressions sont avec nous, et nos iniquités, nous les connaissons : 13 se rebeller et mentir contre l’Éternel, se détourner de notre Dieu, proférer l’oppression et la révolte, concevoir et énoncer du cœur des paroles de mensonge. 14 Et le jugement est repoussé en arrière, et la justice se tient loin ; car la vérité a trébuché sur la place publique, et la droiture ne peut pas entrer. 15 La vérité fait défaut, et celui qui se retire du mal devient une proie. Et l’Éternel l’a vu : ce fut mauvais à ses yeux qu’il n’y ait pas de juste jugement.

Aux versets 9-15a, le prophète passe de la troisième personne du pluriel, « ils » et « leur », à la première personne du pluriel, « nous » et « nos ». Il s’associe au peuple. Au début, il se tient face au peuple et s’adresse à lui. Maintenant, il se tient parmi le peuple et parle avec lui et au nom de lui. Le message de Dieu s’adresse à leur cœur, tout comme le message de Jean le baptiseur s’adressera plus tard au peuple. Avec et au nom du peuple, le prophète reconnaît la transgression et confirme les conséquences du jugement de Dieu sur eux (verset 9).

L’Éternel n’intervient pas en faveur de son peuple contre ses ennemis (verset 19). C’est pourquoi ils sont encore dans les ténèbres. Comme fils de la déportation, ils espèrent la libération, mais la situation semble empirer. Ils tâtonnent comme des aveugles, bien qu’il fasse grand jour, et trébuchent (verset 10). Sans aucune perspective d’avenir, ils se sentent comme des morts.

Les deux tiers du peuple ont été exterminés par le roi du nord et ses alliés (Zac 13:8-9). Mais maintenant, le peuple se repent. Ce n’est pas à cause de l’impuissance de l’Éternel que cela leur est arrivé, mais à cause de leurs iniquités. Ils le comprennent enfin.

Ceux qui persistent dans l’erreur ne trouveront aucun secours de la lumière de la vérité de Dieu, bien qu’elle soit à leur disposition. Christ et les Écritures sont devenus une pierre d’achoppement pour les Juifs (Jn 5:39-40 ; 2Cor 3:14,16). Il en est de même dans la chrétienté. Les Écritures sont lues, mais elles ne sont pas comprises. Le pouvoir aveuglant des traditions exégétiques obscurcit la lumière de la parole de Dieu. Les personnes qui possèdent la Bible restent dans l’esclavage religieux. Elles sont incapables de jouir de la vérité qui pourrait les libérer si elles écoutaient fidèlement sa voix au lieu de s’accrocher aux systèmes des hommes.

La première partie du verset 11 décrit deux états. Rugir « comme les ours » suppose l’impatience ; le triste gémir « comme des colombes » suppose le désespoir. Tous deux sont à l’opposé de la paix du croyant qui découle de l’abattement du cœur et de la soumission à la volonté de Dieu. Comme ils ne se soumettent pas à l’Éternel, ils sont privés de cette paix, le juste jugement ne vient pas et le salut reste lointain.

Après avoir reconnu leur aveuglement et leur état de mort (versets 9-11), le peuple se met à confesser et à nommer ses péchés. Ces catastrophes s’abattent sur eux à cause de leurs nombreuses transgressions (verset 12). Ils le savent et le reconnaissent maintenant. Ils savent que, d’une part, ils ont renié l’Éternel en rejetant Christ, l’Emmanuel, et qu’ils se sont détournés de Dieu en reconnaissant l’Antichrist comme roi et dieu. D’autre part, ils utilisent « des paroles de mensonge » qui proviennent d’un cœur corrompu et persécutent ainsi leurs compatriotes, le reste fidèle (verset 13).

« Le jugement» et « la justice » sont supplantés par l’injustice (verset 14). Là où tous les hommes se rencontrent, « sur la place publique », la « vérité » et la « droiture » ne sont pas respectées (cf. 1Cor 5:8). On essaie de s’enrichir avec autant de mensonges et d’intentions malhonnêtes que possible aux dépens des autres. Celui qui ne participe pas à cela se voit même dépouillé de ses biens par la force (verset 15a).

Les versets 15b-19 constituent la troisième partie de ce chapitre. Nous y voyons l’attitude de l’Éternel face à leur comportement et la manière dont Il intervient. Le terme « intercesseur » (verset 16) peut aussi être traduit par ‘quelqu’un qui intervient’, un ‘médiateur’. Il voit le mal mentionné aux versets précédents (verset 15b). L’absence de justice est un grand mal à ses yeux. Il est consterné parce qu’il n’y a personne de caractère ou quelqu’un qui ait la capacité de renverser la tendance du mal pour le reste affligé.

16 - 19 L’étonnement de l’Éternel

16 Il vit qu’il n’y avait personne, et il s’étonna de ce qu’il n’y ait pas d’intercesseur ; alors son bras le sauva, et sa justice le soutint. 17 Il revêtit la justice comme une cuirasse et [mit] un casque de salut sur sa tête. Il revêtit, comme un habit, les vêtements de la vengeance et se revêtit de jalousie comme d’un manteau. 18 Il rendra [à chacun] selon sa conduite : la fureur à ses adversaires, à ses ennemis ce qu’ils méritent ; aux îles il rendra ce qu’elles méritent. 19 Depuis le couchant ils craindront le nom de l’Éternel, et depuis le soleil levant, sa gloire. Quand l’ennemi viendra comme un fleuve, l’Esprit de l’Éternel lèvera un étendard contre lui.

Personne ne prend le parti de Dieu contre les abominations et leurs conséquences inévitables (verset 16). Il voit le mal, mais Il ne voit personne qui s’en soucie et qui fasse quelque chose pour y remédier. À l’époque du veau d’or, il y avait encore Moïse pour intercéder en faveur du peuple, mais ici, il n’y a personne (cf. Apo 5:4).

Jusqu’à présent, aucune aide n’est possible. Ni d’en bas, ni d’en haut. Mais maintenant que le peuple s’est repenti et implore la grâce, maintenant qu’il se confesse avec un cœur véritablement brisé, maintenant l’aide peut venir d’en haut, maintenant l’Éternel Lui-même vient, ému de compassion.

Si personne ne prend la défense du peuple – et il n’y a personne qui le puisse ! (Psa 49:8-9) – Il le fera Lui-même. Il sera Lui-même le Rédempteur de son peuple (verset 20). Personne n’a besoin de L’aider. Son propre bras, image de sa puissance pour accomplir quelque chose, Lui donne aide. Ses actions sont fondées sur sa justice. C’est sur cela qu’Il s’appuie.

Dans la description qui suit de ce dont Il se revêt (verset 17), nous avons des images des différentes révélations de ses attributs et de sa puissance, des actions de sa justice et de sa grâce. Les vêtements révèlent l’intérieur. « La justice » est sa « cuirasse », « le salut » est son « casque », « la vengeance » est son « habit » et « la jalousie » est son « manteau ».

C’est une image. L’Éternel se pare de ces quatre attributs. Cela rappelle l’armure du croyant dans la lettre aux Éphésiens, où les vêtements sont constitués des armes spirituelles dont nous disposons pour résister à l’ennemi (Éph 6:13-17). La différence est que l’Éternel n’a pas besoin de se défendre. Il utilise ces armes pour se venger de ses ennemis.

À titre d’explication des vêtements de l’Éternel, suit une prophétie qui dévoile les grands événements futurs liés à Israël. Tout d’abord, l’Éternel agira contre les rebelles en Israël et punira ceux parmi le peuple qui s’allient obstinément à l’Antichrist. Ce sont les adversaires auxquels il est fait référence dans la première partie du verset 18. Il les punira selon leurs actes. Deuxièmement, les jugements s’abattront sur « ses ennemis » dans le monde des nations et « les îles », qui se rassembleront tous contre l’Éternel et contre son Oint (Psa 2:2).

L’intervention de l’Éternel inspirera la crainte de Dieu à ceux qui doivent redouter sa colère, suivie d’une soumission forcée et d’une reconnaissance des droits de Dieu et de son Fils (verset 19). Ces ennemis sont les nations qui partent en guerre contre Israël sous la conduite de l’Assyrien, le roi du nord. Ils viendront « comme un fleuve ».

20 Le Rédempteur de Sion

20 Le rédempteur viendra à Sion et vers ceux qui, en Jacob, reviennent de [leur] rébellion, dit l’Éternel.

Les jugements qui signifient la ruine pour les ennemis signifient le salut pour le reste fidèle. Pour eux, Il vient en tant que Rédempteur. Ce reste est composé des repentants d’Israël, c’est-à-dire ceux en Jacob qui se sont repentis de leur rébellion. Ils se sont repentis en prenant conscience qu’ils sont coupables d’avoir rejeté le Messie.

21 L’Esprit et les paroles de l’Éternel

21 Quant à moi, c’est ici mon alliance avec eux, dit l’Éternel : Mon esprit qui est sur toi, et mes paroles que j’ai mises dans ta bouche, ne se retireront pas de ta bouche, ni de la bouche de ta descendance, ni de la bouche de la descendance de ta descendance, dit l’Éternel, dès maintenant et à toujours.

Le chapitre se termine par la promesse d’une nouvelle alliance. Elle est basée sur la parole de Dieu à Abraham (Gen 17:4). Le reste reçoit la promesse que l’Esprit de Dieu viendra sur eux. Nous retrouvons ici cette magnifique combinaison de l’Esprit et de la Parole. Ils sont souvent mentionnés ensemble et seront la force du peuple au temps de la fin (cf. Agg 2:6).

Un témoignage de l’Éternel sera continuellement rendu. Cela se poursuivra de génération en génération pendant le règne de paix. Il s’agit de ceux qui entreront dans le royaume de paix et de toutes les générations suivantes qui naîtront. Ils ne cesseront eux-mêmes de proclamer sa Parole et de témoigner de Lui. Cela signifie que pendant le royaume de paix, le peuple d’Israël ne sera composé que de ceux qui sont véritablement nés de Dieu. Quelle promesse puissante. Quelle riche bénédiction !

Il serait souhaitable que cela soit déjà le cas pour nous aujourd’hui. Si l’Esprit de Dieu habite en nous et si lasa Parole habite abondamment en nous, nous transmettrons à nos enfants et petits-enfants le témoignage concernant le Seigneur Jésus comme notre vie. C’est l’une des plus grandes bénédictions qu’un croyant puisse connaître sur la terre que de savoir que vivre la vie pour lui, c’est Christ, et de voir que cela est aussi vrai pour ses enfants et petits-enfants (2Jn 1:4 ; 3Jn 1:4).

Lis la suite dans Ésaïe 60

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© 2023 Licence: CC BY-ND. Texte de la Bible: Traduction révisée. Traduction légèrement moins littérale que la version J.N. Darby, dans la langue française actuelle. Bibles et Publications Chrétiennes, Valence https://editeurbpc.com/bible/traduction-revisee.

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