Ézéchiel

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48

Kingcomments
Nederlands Deutsch English Français Português
  • Accueil
  • Informations
  • Études bibliques
  • Ancien Testament
    • Genèse
    • Exode
    • Lévitique
    • Nombres
    • Deutéronome
    • Josué
    • Juges
    • Ruth
    • 1 Samuel
    • 2 Samuel
    • 1 Rois
    • 2 Rois
    • 1 Chroniques
    • 2 Chroniques
    • Esdras
    • Néhémie
    • Esther
    • Job
    • Psaumes
    • Proverbes
    • Ecclésiaste
    • Cantique des cantiques
    • Ésaïe
    • Jérémie
    • Lamentations de Jérémie
    • Ézéchiel
    • Daniel
    • Osée
    • Joël
    • Amos
    • Abdias
    • Jonas
    • Michée
    • Nahum
    • Habakuk
    • Sophonie
    • Aggée
    • Zacharie
    • Malachie
  • Nouveau Testament
    • Matthieu
    • Marc
    • Luc
    • Jean
    • Actes des Apôtres
    • Romains
    • 1 Corinthiens
    • 2 Corinthiens
    • Galates
    • Éphésiens
    • Philippiens
    • Colossiens
    • 1 Thessaloniciens
    • 2 Thessaloniciens
    • 1 Timothée
    • 2 Timothée
    • Tite
    • Philémon
    • Hébreux
    • Jacques
    • 1 Pierre
    • 2 Pierre
    • 1 Jean
    • 2 Jean
    • 3 Jean
    • Jude
    • Apocalypse

Ézéchiel 8

La fidélité de Dieu

Introduction 1 - 6 L’idole de jalousie 7 - 13 L’idolâtrie des anciens 14 - 15 Le culte de Thammuz par les femmes 16 Se prosterner devant le soleil 17 - 18 Le jugement de l’Éternel

Introduction

C’est ici que commence la deuxième partie (Ézéchiel 8-11) de la deuxième partie principale (Ézéchiel 4-24) qui traite de la chute de Jérusalem. Elle est structurée comme suit :
1. L’idolâtrie dans le temple (Ézéchiel 8).
2. Le jugement des habitants de Jérusalem (Ézéchiel 9).
3. La gloire de l’Éternel sort du temple (Ézéchiel 10).
4. Jérusalem, un pot (Ézéchiel 11:1-13).
5. Le sanctuaire des déportés (Ézéchiel 11:14-25).

1 - 6 L’idole de jalousie

1 Et il arriva, en la sixième année, au sixième [mois], le cinquième [jour] du mois, qu’étant assis dans ma maison, et les anciens de Juda étant assis devant moi, la main du Seigneur, l’Éternel, tomba là sur moi. 2 Et je vis, et voici une ressemblance comme l’aspect d’un feu : depuis l’aspect de ses reins vers le bas, c’était du feu ; et depuis ses reins vers le haut, c’était comme l’aspect d’une splendeur, comme l’apparence de l’airain luisant. 3 Et il étendit la forme d’une main, et me prit par les boucles de ma tête ; et l’Esprit m’éleva entre la terre et les cieux, et m’emmena à Jérusalem, dans les visions de Dieu, à l’entrée de la porte intérieure qui regarde vers le nord, où était le siège de l’idole de jalousie qui provoque la jalousie [de l’Éternel]. 4 Et voici, là était la gloire du Dieu d’Israël, selon la vision que j’avais vue dans la vallée. 5 Et il me dit : – Fils d’homme, lève tes yeux vers le nord. Et je levai mes yeux vers le nord ; et voici, au nord de la porte de l’autel, cette idole de jalousie, à l’entrée. 6 Et il me dit : – Fils d’homme, vois-tu ce qu’ils font, les grandes abominations que la maison d’Israël commet ici, pour m’éloigner de mon sanctuaire ? Et tu verras encore de grandes abominations.

En août/septembre de l’année 592 av. J.-C., soit quatorze mois après la vision de son appel (Ézé 1:1), Ézéchiel reçoit la visite des anciens de Juda (verset 1). Il est chez lui, comme l’Éternel le lui a ordonné. Ceux qui veulent entendre la parole de l’Éternel doivent venir à lui. Ézéchiel semble être connu du peuple. Les chefs des fils de la déportation sont venus le voir pour savoir s’il avait un message de l’Éternel pour eux. Ils se sont assis devant Ézéchiel pour l’écouter.

Le fait qu’ils soient appelés « les anciens de Juda » peut indiquer qu’ils l’étaient déjà lorsqu’ils ont été déportés et qu’ils occupent aussi une certaine position d’autorité en captivité. Ils sont en captivité depuis plus de six ans et veulent probablement savoir de la bouche d’Ézéchiel comment vont les choses à Jérusalem. La vision qu’Ézéchiel reçoit n’offre aucun espoir d’un retour rapide, car la ville pèche gravement. En conséquence, les habitants de Jérusalem qui s’y trouvent encore seront aussi chassés de la ville. Cela contredit les paroles des faux prophètes, qui prédisent aux fils de la déportation un retour rapide en Juda et à Jérusalem.

Lorsque les anciens sont assis devant Ézéchiel, la main de l’Éternel, c’est-à-dire l’Esprit de Dieu, tombe sur lui, le plongeant dans un état visionnaire. Le fait que la main de l’Éternel tombe sur lui indique que cela se produit soudainement, de manière inattendue. Cela montre aussi clairement qu’il ne commande pas à l’Esprit de venir à lui et qu’il ne peut exercer aucune influence sur Lui. L’Esprit de Dieu est souverain et Il a autorité sur Ézéchiel.

Ézéchiel reçoit un message pour ces chefs du peuple de Dieu. Ce message lui est transmis par « une ressemblance comme l’aspect d’un feu » (verset 2). Il ne fait aucun doute qu’il s’agit d’une apparition du Seigneur Jésus avant son incarnation. Tout comme la description de l’apparition en Ézéchiel 1, cette description est aussi vague. Elle est tout aussi impressionnante que celle d’Ézéchiel 1. Ses reins font l’objet d’une attention particulière. C’est la partie du corps qui donne la force de marcher. Cela rappelle le Seigneur Jésus qui marche au milieu des sept lampes pour juger (Apo 1:12-16).

Ses reins sont en connexion avec la terre (« vers le bas ») et avec les cieux (« vers le haut »). Vers le bas, nous voyons du « feu » et vers le haut, nous voyons « l’apparence de l’airain luisant ». Le jugement, dont le feu est le symbole, est exécuté par Lui en bas, sur la terre. Il le fait parce qu’en tant qu’Homme venu du ciel, Il est l’éclat du ciel et met tout sur la terre en accord avec le ciel. Le jugement doit être exécuté pour atteindre cet objectif, car le péché règne sur la terre. Par le jugement, Il veillera à ce que la prière soit exaucée, afin que la volonté de Dieu soit faite comme dans le ciel, aussi sur la terre » (Mt 6:10).

Cette personne le saisit par les boucles de sa tête avec ce qui a la forme d’une main (verset 3). Cela lui donne le sentiment que ce qu’il voit dans la vision est réellement en train de se produire. Puis l’Esprit l’élève entre la terre et les cieux et l’emmène dans les visions de Dieu à Jérusalem, puis au temple, l’habitation de Dieu à Jérusalem. Alors qu’Ézéchiel est physiquement assis dans sa maison avec les anciens, il voit dans sa vision comment l’Esprit le conduit à l’entrée de la porte intérieure qui regarde vers le nord.

La porte intérieure est l’endroit où se trouve l’autel de l’holocauste sur lequel sont offerts les holocaustes à la gloire de Dieu. Cependant, cet endroit présente une autre image. On y trouve « le siège de l’idole de jalousie, qui provoque la jalousie ». Une telle abomination en ce lieu est une offense particulièrement répugnante à Dieu. Elle provoque sa jalousie. Sa jalousie concerne à la fois sa majestueuse sainteté et son grand amour. Les deux sont bafoués. Cette abomination est un traitement profondément diffamatoire de « la gloire du Dieu d’Israël » qui réside toujours là (verset 4).

Dieu dit à Ézéchiel, fils d’homme, de lever les yeux vers le nord (verset 5). Ézéchiel le fait. Il voit alors ce que Dieu voit. Ce qu’il observe, « l’idole de jalousie », est quelque chose de répugnant pour un sacrificateur qui veut servir Dieu dans sa maison (cf. 2Roi 23:6). Ce qu’il voit, c’est une idole qui provoque la jalousie de l’Éternel. Il ne peut tolérer que son peuple aime d’autres dieux à côté de Lui.

L’Éternel demande à Ézéchiel s’il voit bien ce qu’ils font (verset 6). Il insiste pour qu’Ézéchiel en prenne conscience. C’est afin qu’il ressente ce que l’Éternel ressent face à cette grande offense. Il dit à Ézéchiel que les grandes abominations de la maison d’Israël L’obligent à s’éloigner de son sanctuaire. Ici, l’Éternel annonce qu’il doit quitter son sanctuaire. Il doit, pour ainsi dire, aller Lui-même en captivité. Ce qu’Ézéchiel a vu n’est pas la seule abomination commise par le peuple. Il en verra d’autres encore.

7 - 13 L’idolâtrie des anciens

7 Et il me mena à l’entrée du parvis ; et je regardai, et voici, un trou dans le mur. 8 Et il me dit : – Fils d’homme, perce le mur. Et je perçai le mur, et voici, une porte. 9 Et il me dit : – Entre, et regarde les mauvaises abominations qu’ils commettent ici. 10 Et j’entrai, et je regardai ; et voici toute [sorte] de figures de reptiles, et de bêtes exécrables, et toutes les idoles de la maison d’Israël tracées sur le mur, tout autour ; 11 et 70 hommes d’entre les anciens de la maison d’Israël se tenaient devant elles, et au milieu d’eux se tenait Jaazania, fils de Shaphan : chacun avait son encensoir dans sa main, et il montait une épaisse nuée d’encens. 12 Et il me dit : – As-tu vu, fils d’homme, ce que les anciens de la maison d’Israël font dans les ténèbres, chacun dans les chambres qu’il a consacrées à ses idoles ? Car ils disent : “L’Éternel ne nous voit pas, l’Éternel a abandonné le pays.” 13 Et il me dit : Tu verras encore de grandes abominations qu’ils commettent.

Dans la vision, l’Éternel le mène à l’entrée du parvis, où il voit un trou dans le mur (verset 7). Il reçoit l’ordre de percer le mur, probablement parce que le trou est trop petit pour qu’il puisse s’y faufiler (verset 8). Une fois qu’il l’a fait, il voit une porte. L’Éternel lui dit d’entrer par cette porte et lui annonce qu’il verra « les mauvaises abominations » qui ils commettent dans cette pièce (verset 9). Ézéchiel entre et voit que sur le mur, tout autour, sont tracées « toute [sorte] de figures de reptiles, et de bêtes exécrables, et toutes les idoles de la maison d’Israël » (verset 10).

Il voit alors 70 hommes, les anciens de la maison d’Israël, qui se tiennent devant elles (verset 11). Le nombre 70 n’est pas sans signification. Il s’agit de l’ensemble du conseil des anciens. Ils représentent tout le peuple. Jaazania, fils de Shaphan, joue le rôle principal parmi ces chefs apostats. Son nom est le seul à être mentionné. Il est aussi mentionné qu’il se tient « au milieu d’eux », ce qui indique qu’il occupe une place centrale dans cet événement. Tous les regards sont tournés vers lui, il donne l’exemple.

Son père Shaphan était un homme fidèle qui a joué un rôle important dans le réveil sous le règne du roi Josias (2Chr 34:14-20). Jaazania a aussi des frères et des cousins qui sont fidèles à l’Éternel (Jér 26:24 ; 29:3 ; 36:10-11 ; 40:7). Jaazania signifie ‘Yahvé écoute’, mais il ne vit pas selon la signification de ce nom. Il est un exemple profondément triste de quelqu’un qui appartient à une famille qui sert l’Éternel, mais qui se détourne consciemment de Lui et se met au service du monde, devenant même un chef de file de l’apostasie. Cela montre la grave vérité que la foi n’est pas un héritage. Chaque personne est personnellement responsable devant Dieu.

Tous les anciens tiennent chacun un encensoir d’où monte une épaisse nuée d’encens, symbole d’adoration. Ils se livrent avec dévouement à leur idolâtrie. L’Éternel demande à Ézéchiel s’il a bien vu ce que les anciens de la maison d’Israël « font dans les ténèbres » (verset 12). Ce qu’ils font ne peut supporter la lumière du jour. Ils sont là en tant que groupe, mais chacun est occupé à sa manière obscure dans sa propre chambre, son propre cœur et ses propres pensées, avec sa propre image.

Dans leur aveuglement et leur folie, ils pensent que l’Éternel ne les voit pas. Après tout, il a abandonné le pays, disent-ils. Peut-être ont-ils utilisé comme argument qu’Il les aurait libérés du siège de Babylone s’Il était encore dans le pays. Ils L’accusent ainsi d’infidélité et justifient leurs pratiques idolâtres. Pendant qu’ils parlent ainsi et pratiquent leur idolâtrie, l’Éternel les observe et montre même à Ézéchiel, dans une vision, ce qu’ils disent et font. À quelles folies l’homme peut-il donc sombrer lorsqu’il exclut Dieu !

Cette scène rappelle « les œuvres infructueuses des ténèbres », les choses « qu’ils font en secret », dont la parole de Dieu dit qu’elles doivent être réprouvées (Éph 5:11-12). Notre corps est un temple du Saint Esprit, mais il peut arriver que nous nourrissions des pensées pécheresses dans les recoins cachés de notre cœur. Par son Esprit, Dieu veut percer ce mur. Il veut nous montrer clairement le péché afin que nous le condamnions.

Ce qu’Ézéchiel a vu ne sont pas encore toutes les atrocités. Il en verra encore d’autres (verset 13).

14 - 15 Le culte de Thammuz par les femmes

14 Puis il me mena à l’entrée de la porte de la maison de l’Éternel, qui est vers le nord ; et voici des femmes assises là, pleurant Thammuz. 15 Et il me dit : – As-tu vu, fils d’homme ? Tu verras encore des abominations plus grandes que celles-là.

L’Éternel conduit Ézéchiel à l’entrée de la porte de la maison de l’Éternel, qui est vers nord (verset 14). Là, il voit des femmes assises qui pleurent. Elles sont tristes parce que Thammuz est mort. Thammuz est un dieu de la nature, le dieu protecteur des cultures et des troupeaux. La croyance en Thammuz dit qu’il meurt chaque année au quatrième mois (juin/juillet), ce qui explique ici les pleurs des femmes. On croit aussi qu’il revient à la vie chaque printemps. La tristesse n’est donc pas profonde.

Ces femmes pleurent un dieu mort à l’endroit où le vrai Dieu réside et devrait être honoré. Elles rendent à la nature l’honneur qui n’appartient qu’au vrai Dieu. Nous le voyons à notre époque dans le mouvement écologiste qui prend des traits de plus en plus religieux et appelle à un ‘retour à la nature’. Le mouvement New Age est le porteur spirituel de cette idéologie. Des forces et des pouvoirs démoniaques agissent en arrière-plan et reçoivent l’adoration qui n’appartient qu’à Dieu.

Ce qu’Ézéchiel a vu est très choquant : des femmes qui pleurnichent à cause de la mort supposée d’une idole supposée. C’est un défi particulier lancé à Dieu. Dieu attire expressément l’attention d’Ézéchiel sur ce point en lui demandant s’il a vu cela (verset 15). Il veut le faire participer à son grand dégoût. Et Ézéchiel n’a pas encore vu toutes les atrocités. Il en verra d’autres, encore plus grandes que celles-ci.

16 Se prosterner devant le soleil

16 Puis il me fit entrer dans le parvis intérieur de la maison de l’Éternel ; et voici, à l’entrée du temple de l’Éternel, entre le portique et l’autel, environ 25 hommes, le dos tourné vers le temple de l’Éternel, et leurs faces vers l’orient ; et ils se prosternaient vers l’orient devant le soleil.

Ézéchiel est ensuite conduit par l’Éternel dans le parvis intérieur de sa maison pour voir la quatrième abomination. À un endroit précisément décrit, « à l’entrée du temple de l’Éternel, entre le portique et l’autel », il voit environ 25 hommes. Ils sont tournés le dos vers le temple de l’Éternel.

Lui tourner le dos est clairement un signe de mépris envers l’Éternel (2Chr 29:6). Ils le provoquent davantage en agissant ainsi au lieu même où Il souhaite tant accueillir son peuple, la face tourné vers Lui. Ils Lui tournent le dos et se tournent vers l’orient. C’est dans cette direction qu’ils se prosternent devant le soleil. Dieu et ses statuts, dans lequel Il a décrété qu’ils ne devaient se prosterner devant aucune partie de sa création (Exo 20:4-5 ; Deu 5:8-9), sont rejetés.

17 - 18 Le jugement de l’Éternel

17 Et il me dit : – As-tu vu, fils d’homme ? Est-ce une chose légère à la maison de Juda de commettre les abominations qu’ils commettent ici, pour qu’ils remplissent encore le pays de violence, et qu’ils me provoquent à colère [toujours] à nouveau ? Et voici, ils mettent le rameau à leur nez ! 18 Et moi aussi, j’agirai avec fureur ; mon œil n’aura pas compassion, et je n’épargnerai pas ; et quand ils crieront à mes oreilles à haute voix, je ne les écouterai pas.

Une fois encore, l’Éternel demande à Ézéchiel, fils d’homme, s’il a vu (verset 17). Il l’associe à son observation. Il l’associe aussi à son jugement lorsqu’Il lui demande si la maison de Juda peut faire pire que ce qu’elle fait actuellement avec ces atrocités. Cela dépasse tout, n’est-ce pas ? Cela ne peut pas être pire, n’est-ce pas ? Si Ézéchiel a peut-être hésité à annoncer le jugement, ce que l’Éternel lui a montré l’a convaincu de sa justice.

La violence qui envahit le pays est causée par eux. Ils ont provoqué l’Éternel à colère, non pas une seule fois ou de temps en temps, mais sans cesse, continuellement. En outre, ils « mettent le rameau à leur nez » ou, comme on peut aussi le traduire, « le rameau à mon nez ». La signification de cette expression n’est pas claire. Compte tenu du contexte et de l’indignation de l’Éternel face à cette pratique, nous pouvons penser à un geste extrêmement choquant et répréhensible à son égard. Nous pouvons peut-être comparer cela à des expressions que nous connaissons, telles que Lui faire un pied de nez ou Lui faire des gestes obscènes avec les mains et les doigts.

L’Éternel ne peut faire autrement que d’agir avec eux avec fureur (verset 18). Ce sera une action tout à fait justifiée. Il n’épargnera personne et n’aura de pitié pour personne. Ils l’ont bien cherché. S’ils L’appellent alors à grands cris, Il ne les écoutera pas. Le temps où Il les écoutait est révolu, car ils ne L’ont jamais écouté.

Dans ce chapitre, le diagnostic est posé. Il est établi à quel point la situation du peuple est terrible. Dieu doit juger son peuple. Il n’a pas d’autre choix. Le jugement est présenté dans le chapitre suivant. Ce n’est pas encore le jugement définitif. Ézéchiel est toujours en état de vision. Le jugement définitif viendra lorsque Nebucadnetsar détruira la ville de Jérusalem.

Lis la suite dans Ézéchiel 9

© Copyright

© 2023 Licence: CC BY-ND. Texte de la Bible: Traduction révisée. Traduction légèrement moins littérale que la version J.N. Darby, dans la langue française actuelle. Bibles et Publications Chrétiennes, Valence https://editeurbpc.com/bible/traduction-revisee.

© 2025 Auteur G. de Koning
© 2025 Conception du site web E. Rademaker


Privacy policy

Aucune partie de cette publication ne peut être reproduite et/ou publiée – autrement que pour un usage personnel – par impression, photocopie, microfilm ou tout autre moyen sans l'autorisation écrite préalable de l'auteur.

Google Play